La présente communication se propose de revenir sur le rôle du support comme limite de l’image, en tant qu’objet d’une part et fait de représentation d’autre part : de l’autonomie qu’il lui donne par rapport à l’espace qui la reçoit et par rapport à la présentation de son contenu comme fiction. Mais elle se propose également de montrer toute l’ambiguïté du support, qui peut devenir à son tour fait de représentation et signe de son énonciation, ce que nous tenterons de montrer sur quelques oeuvres d’Yves Klein.